Les Ateliers pratiques de Cardio-online | Quelles attitudes pratiques pour un patient hospitalisé pour une 1ère poussée d’IC aiguë ? Pourquoi ? Comment ?
Publié le mardi 7 février 2023
Vous n'avez pu prendre part à la discussion menée autour de la prise en charge, du bilan, et du traitement d'un patient hospitalisé suite à une première poussée d’IC aiguë, or la préservation de l'avenir de l'insuffisant cardiaque reste l'une de vos préoccupations ?
Plusieurs possibilités s'offrent à vous, qui sont toutes complémentaires :
1. Visionnez le replay de l'émission pour profiter à loisir de cet atelier que vous avez peut-être manqué !
2.Participez au deuxième volet de notre série consacrée à l'avenir de l'insuffisant cardiaque le jeudi 16 mars, qui sera dédié cette fois à la première consultation après une 1ère poussée d’IC. S'inscrire ici !
3.Découvrez ci-dessous les premiers résultats de notre quiz, et, si vous ne l'avez pas déjà fait, participez à votre tour ! Les "bonnes" réponses seront dévoilées lors du prochain atelier.
En cas d'IC à FEVG altérée :
- Les médicaments cardioprotecteurs ne sont efficaces qu'à leur titration optimale. Pour 60 % des répondants, cette affirmation est fausse. Qu'en dites-vous ?
- Les médicaments cardioprotecteurs devraient être tous prescrit avant la sortie, si hospitalisation il y a. C'est vrai pour 91 % des interrogés. Et pour vous ?
- L’ordre d’introduction des médicaments cardioprotecteurs doit être IEC, puis bêtabloquant, puis antialdostérone, puis iSGLT2. L'écrasante majorité (81 %) n'est pas d'accord. Partagez-vous cet avis ?
Quelle que soit la FEVG, une seule classe thérapeutique a fait la preuve de son efficacité sur morbidité et mortalité. Les avis sont très partagés, puisque 55 % estiment que c'est vrai, alors que 45 % pensent que c'est faux. De quel côté penchez-vous ?
L'affirmation selon laquelle seuls les iSGLT2 sont prescrits sans nécessité d’adaptation de posologie fait la quasi-unanimité (92 %). Abondez-vous dans ce sens vous aussi ?
Cet atelier pratique vous est proposé grâce au soutien institutionnel Boehringer Ingelheim et Lilly