Risque cardiovasculaire - Faut-il s’intéresser aux personnes apparemment en bonne santé ?

Mis à jour le vendredi 2 juin 2023
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Si nous avons fait des progrès considérables en matière de traitement des maladies cardiovasculaires, celles-ci restent la deuxième cause de mortalité en France avec 150 000 décès par an, ainsi que la première cause chez la femme.

Alors, quels sont les marqueurs et facteurs de risque ? Comment identifier le patient à risque, et comment mener l'évaluation ? De quels moyens disposons-nous pour améliorer la prévention cardiovasculaire ? Quels sont les différents objectifs de traitement ?

Serge Kownator (cardiologue, Thionville), Atul Pathak (cardiologue, Monaco), François Schiele (cardiologue, Besançon) et Éric Bruckert (endocrinologue, Paris) se sont réunis pour échanger autour de la question épineuse : « Risque cardiovasculaire - Faut-il s’intéresser aux personnes apparemment « en bonne santé » ? ».

En s’appuyant sur les recommandations 2021 de la Société Européenne de Cardiologie pour la prévention des maladies cardiovasculaires, nos experts abordent ce sujet de prévention primaire, qui joue un rôle capital en cardiologie, et vous donnent tous les outils pour vous permettre de mieux :

  • Dépister
    • Zoom sur : SCORE2 et Lifetime, évaluation et autoévaluation du risque grâce aux outils digitaux, objectifs de contrôle...
  • Diagnostiquer
    • Zoom sur la Lp(a), objectifs de contrôle de la PA et du LDL-c, l'algorithme décisionnel...
  • Traiter
    • Zoom sur activité physique, sport, sédentarité, régime méditerranéen, sel & tabac, progression du score calcique coronaire, plaques corotidiennes, CRP et maladie inflammatoire chronique, score calcique coronaire...
  • Monitorer 
    • Zoom sur hypertension et pression artérielle, syndrome d’apnée du sommeil...

Suivez sans plus attendre cette émission spéciale, illustrée d’interviews exclusives, de courts reportages, et de riches débats, pour contribuer vous aussi à cet enjeu de santé publique.

 

Cette émission vous est proposée grâce au soutien institutionnel de Viatris

 

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