Notre façon de stratifier le risque cardiovasculaire des patients est en pleine mutation, non plus fondée sur l’imagerie cardiovasculaire simplement ou la clinique pure, mais sur des scores radio-clinico-biologiques interprétés et construits à partir de l’intelligence artificielle.
Une intelligence artificielle (IA) pourrait avoir un intérêt pour faire un diagnostic différentiel entre le syndrome de takotsubo et un infarctus du myocarde à partir de données d'échocardiographie, selon une étude suisse publiée par le JAMA Cardiology.